Depuis quatre ans que je suis au Gabon, ça ne me gêne plus qu'on m'appelle "le Blanc", "le White", "le Blanco"... Au début, je montais sur mes grands chevaux et répondais aux gens : " Ne m'appelez pas "Blanc", est-ce que moi je vous appelle "Noirs" ? " Aujourd'hui, je ne m'offusque plus, j'ai compris que la plupart du temps c'est amical.
[p14]