"Toi d'abord ! aboie l'homme, et c'est à ma mère qu'il s'adresse. Vite ! Vite !"
Je refuse de la lâcher, mais déjà une main m'attrape et une autre me couvre la bouche.
Ma mère disparaît dans le trou noir. Je me défends de toutes mes forces, je gigote, je me bats, je rama désespérément des bras. Je n'arrive plus à respirer. Les pigeons roucoulent si fort...
Ils me lâchent, on m'assène un coup violent.
Je tombe.
Je tombe dans le trou noir.