Un grand peuple assaillie par la guerre n'a pas seulement ses frontières à défendre : il a aussi sa raison. Il lui faut la sauver des hallucinations, des injustices, des sottises, que le fléau déchaîne. À chacun son office : aux armées, de garder le sol de la patrie. Aux hommes de pensée, de défendre sa pensée.