C’est le peuple qui en souffrira.
Il souffrira si j’agis. Il souffrira si je n’agis pas.
Cela vaut bien un koan, n’est-ce pas ?
Du nouveau-né au plus vieux sage, du noble samouraï au paysan de rizières, tous seront touchés par ce qui se prépare. Il m’incombe de les condamner ou de les délivrer.
L’avenir point à l’horizon. Il est presque sur nous mais il se dissimule à ma vue. Mon pays aura droit à son dernier crépuscule ou à une aube nouvelle.
J’ignore lequel.