Nous nous partagions les tâches de la vie quotidienne, qui étaient inscrites chaque jour sur un tableau. Nous travaillions et jouions ensemble. Un de mes plus grands plaisirs était de sentir l’odeur du bacon et du café en train d’être préparés tout en sachant que c’étaient des Blancs qui le faisaient, et pas moi.
(p. 56, Chapitre 7, “Violence blanche”).