On travaille comme des forcenés pour arrêter des petits revendeurs de drogue, mais jamais on ne s’en prend aux fournisseurs, alors que le vrai problème est là. Chaque fois qu’on veut s’attaquer à eux, on se fait tirer le tapis de sous les pieds. Au bout du compte, on est plus souvent assis sur le banc des joueurs qu’en train de jouer sur la glace. Et il en est de même pour un tas d’autres choses.