Maintenant, je n'ai plus le choix. Je dois admettre que je ne vais pas bien. Et accepter l'aide qui m'est offerte. C'est le plus difficile.
J’ai la chance d’avoir ce garçon incroyable à mes côtés, jusqu’à la toute fin. J’ai la chance de pouvoir rire, aimer… vivre.
J’ai eu la chance, dans ma courte vie, d’aimer à ce point et de l’être en retour.
Je devrais aller me reposer, mais je veux profiter des derniers rayons de soleil. Damien et moi restons devant les portes de l’hôpital, assis côte à côte sur le banc où je lui ai annoncé ma décision. Aujourd’hui, je suis plus calme. Plus heureuse.