Au bout d’un moment, le monde finit par se réduire à la boîte dans laquelle on vit, au point que rien de qui y est extérieur n’a d’importance et que si la boîte vient à être détruite, on préfère disparaître avec elle plutôt que se hasarder au-dehors.
Peut-être était-ce pour ça que les capitaines coulaient avec leur navire. La mort était plus attrayante que l’inconnu. Car au moins, elle apportait la paix au lieu d’un étrange sentiment d’égarement total, à la fois intime et généralisé.