Quoique le Bouddhisme ne soit plus aussi florissant qu'autrefois au Japon, ses livres, ses sectes, ses prêtres en général plus instruits que ceux de la Chine, et surtout les doctrines du Mahâyâna, arrêtent sa décadence. Aussi, ne donnons-nous le nom de Bouddhisme orthodoxe qu'à celui du Japon.