Monter un film, c'est comme composer une symphonie : aucune fausse note n'est permise. Chaque détail compte, chaque seconde, chaque image. Un geste trop différent d'un plan à l'autre, ou bien le ton d'un comédien à l'opposé de celui qu'il avait dans la séquence précédente, et c'est la catastrophe. Plus rien n'est cohérent. Ça demande une réelle minutie.