À l’épreuve du pouvoir, Jean-Michel Blanquer s’est montré despote quand on l’attendait démocrate, diviseur lorsqu’il fallait rassembler, sectaire là où il aurait dû s’ouvrir. Mais tout son paradoxe est de ne pas l’assumer. D’où un décalage permanent entre la communication officielle du ministre, qui prône le dialogue et le consensus au sein de la communauté scolaire, et sa pratique verticale du pouvoir.