Il faut vivre au présent qu’ils disent dans les livres de sagesse des grands magasins. Mais rien ne brûle plus que le présent. Je foutrai le feu à leurs hangars de conserve, et quand tout aura cramé, installé dans un box du tribunal, je leur dirais de lire les livres qu’ils vendent. La peine de l’amour efface la musique, la mer, les saisons, l’ivresse, la faim, les gens, les pays, l’enfance.