Critiques de Samuel N. Rosenberg (1)
Cette anthologie répertorie environ 220 chansons en langue d'oïl, aussi bien anonymes qu'attribuées à des trouvères de grand renom tels que Blondel de Nesle, Gace Brulé ou encore Rutebeuf.
Parce que ce volume offre un splendide panorama des divers genres lyriques du Moyen-âge.
Parce qu'on oublie trop souvent que la poésie et la musique étaient indissociables.
Parce que la poésie médiévale déterminera ce que ce sera la poésie pour des siècles et des siècles.
Parce qu'on peut découvrir le texte original accompagné de sa traduction en langue moderne.
Bon d'accord, si vous n'aimez ni la poésie, ni la littérature médiévale, pas la peine de mettre le nez dans ce bouquin. Mais s'il vous venait une curiosité soudaine pour l'enfance de la poésie française, c'est assurément le livre qu'il vous faut.
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