Je lui prends la main et je le rassure, je lui parle tout doucement, je lui dis que je suis là, que je l’aime, que je sais qu’il a mal mais que ça va aller mieux très vite… à l’extérieur je reste le plus calme possible. A l’extérieur seulement. A l’intérieur la haine et la colère me consument.