Essayez plutôt de concevoir un humanisme qui serait aussi un « énigmatisme ». D’ailleurs, sans énigme, pas d’amour ! Tout ce que je peux vraiment aimer chez l’autre, c’est précisément son énigme, l’interrogation qui le ronge et qui le vide et qu’il trimballe partout, qu’il ne saura jamais formuler lui-même et que je suis encore moins capable de formuler à sa place !