Nationalité : Suisse
Né(e) à : Genêve , 1960
Né(e) à : Genêve , 1960
Biographie :
Sandrine Morier, née à Genève en 1960, psychologue de formation, travaille depuis plusieurs années dans le domaine pénitentiaire. Pour se distraire, elle a de multiples passions, dont la course à pied et l’écriture. Après avoir publié Berbéritude, sous le pseudonyme de Tarumit Guemzi, dans lequel elle relate son aventure en pays berbère, elle s’est lancée dans l’écriture d’un roman. Inspirée par les parcours de vie souvent dramatiques des personnes qu’elle rencontre dans le cadre de son travail, elle a imaginé l’histoire d’Alex, qui fait écho à la vie de tout un chacun, menée au pas de course, la sienne en particulier.
Il lui a semblé très naturel d’apporter à ce roman une touche psychologique, puisque c’est là son métier, et d’y ajouter une touche plus personnelle, celle de sa propre vision philosophique de la vie en général et celle de la course à pied en particulier.
+ Voir plusSandrine Morier, née à Genève en 1960, psychologue de formation, travaille depuis plusieurs années dans le domaine pénitentiaire. Pour se distraire, elle a de multiples passions, dont la course à pied et l’écriture. Après avoir publié Berbéritude, sous le pseudonyme de Tarumit Guemzi, dans lequel elle relate son aventure en pays berbère, elle s’est lancée dans l’écriture d’un roman. Inspirée par les parcours de vie souvent dramatiques des personnes qu’elle rencontre dans le cadre de son travail, elle a imaginé l’histoire d’Alex, qui fait écho à la vie de tout un chacun, menée au pas de course, la sienne en particulier.
Il lui a semblé très naturel d’apporter à ce roman une touche psychologique, puisque c’est là son métier, et d’y ajouter une touche plus personnelle, celle de sa propre vision philosophique de la vie en général et celle de la course à pied en particulier.
Source : Decitre
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Citations et extraits (2)
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Alex se retrouve dans la rue, soulagée. Son lourd secret est partagé. Extirpé d’elle. Il ne viendra plus la hanter. Ni la culpabiliser. Elle a encore de l’ouvrage, pour se réconcilier avec elle-même. Pour se penser autrement que complètement barge. Mais ce secret qui la rongeait, qui prenait toute la place, qui orientait sa vision du monde n’est plus un secret. Quelqu’un sait. Et par ce quelqu’un, elle s’est sentie entendue. Comprise. En entier. Comme si l’autre pouvait entendre l’horreur, prendre acte et ne pas juger. Ne pas la rejeter.
Des moments de petits bonheurs, c'est mieux que le bonheur avec un grand B qui n'existe pas, dit souvent Alex. Et puis, c'est une orientation de l'esprit. Un truc qu'on se construit soi-même. On peut choisir de voir la face noire des choses et des événement. Moi, je préfère regarder la face blanche, la face jolie, la face positive.
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