La vérité à laquelle j’aspire en écrivant ne peut être qu’épiphane : elle ne peut avoir que cette forme absolue de vie, proche de l’asphyxie, qu’on devine dans l’œil du merlan posé sur le bitume du quai. Oui, la seule vérité que je pourrais trouver en écrivant, sera semblable à la vie extrême que la carpe hors de l’eau exprime avant d’expirer.