J’adore faire jaser. Je ne sais pas pourquoi on vante toujours la discrétion comme une qualité suprême, moi, j’aime qu’on parle de moi, de ma bonté et de ma fortune. Je ne veux pas que ma philanthropie reste aussi anonyme que ceux qu’elle aide. Personne n’a de cœur assez vertueux pour se passer d’applaudissements.