L’appartement d’Arabella était étriqué. Sombre. Nu. Les pièces se révélaient trois fois plus longues que larges. Dans la salle de bain, il fallait quasiment enjamber les toilettes pour atteindre la douche. Un homme n’aurait pu y tenir de face. Mais Arabella était svelte et n’accueillait pas beaucoup de visiteurs masculins