CATHARINA : Ah oui, je vois. Bachir, grand brun,
avec un sourire à faire chavirer toutes les volailles.
VICTOIRE : Oui, Bachir le boucher. Un jour, il lui a
écrit un mot qu’elle m’a lu. Si mes souvenirs sont bons,
il disait : « Ma princesse Sophie, ton huile coule à flots
sur mon corps… Le suc de ta peau reste encore sur le
bout de ma… »