C'est ainsi que le serpent, cette dernière nuit, se glissa entre nous. Ce blasphème, je ne le regrette pas. Son corps vert et vif argent grandit sous le pinceau de l'homme que j'aimais, s'enroula autour de ma poitrine, s'étira sur mon ventre avant de se couler dans ma toison, où il prit le visage de celui qui le créait.