Elle portait une robe longue qui s’accrochait dans l’herbe derrière elle, si bien que le tissu s’étalait telle la traîne d’une mariée, et j’ai trouvé ça très joli. Elle se déplaçait comme si elle avait du sirop dans les os et aucune raison de se hâter. Je le sais à présent : c’est ainsi que marchent les gens quand ils aiment ce qu’ils sont. Mais je n’avais jamais vu ça auparavant.