- Mange, Tamlin, ordonnai-je, mais il ne cilla pas.
Ce n'était ni la clémence ni la bonté qui dictaient mon geste. Jamais je ne pourrais ni ne voudrais lui pardonner ce qu'il avait fait subir à celles que j'aimais plus que tout. Mais c'était le solstice, et Feyre m'avait offert un cadeau qui dépassait tous mes rêves.
- Tu pourras te laisser mourir quand nous aurons bâti le monde dont nous rêvons, lui dis-je.