AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Sébastien Capelle (10)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées
Le non de la rose

En conclusion, je regrette beaucoup de n’avoir pas accroché au Non de la Rose alors même que j’attendais avec impatience la sortie de ce texte. Certes, l’uchronie déployée par Sébastien Capelle est intéressante et on sent l’effort de documentation sous-jacent derrière l’écriture. Malheureusement, je suis parvenue à rentrer très tardivement dans le récit en raison d’un contexte historique difficile à appréhender et d’une multitude de personnages à situer. Toutefois, si vous ne connaissez pas l’auteur, je vous invite à découvrir Napoléon en Amérique qui avait été un véritable coup de coeur.



Pour une chronique plus complète, rendez-vous sur mon blog :
Lien : https://labibliothequedaelin..
Commenter  J’apprécie          90
Connectés

Salut les Babelionautes

Encore un auteur et un roman que je me suis offert lors du Salon Yggdrasil qui ce déroulait à Lyon.

C'est un futur qui nous pend au nez quand on sait ou regarder, un informaticien de génie invente une machine qui permet de vivre dans un monde virtuel en prenant l'Avatar que l'on veut.

Mais tout n'est pas rose dans L'Uniwers et une police virtuelle essaye de régenter les individus qui s'y croient tout permis.

le récit est divisé en chapitre qui utilise le Flash Back entre les deux époques, sa création et son utilisation.

le problème c'est que les humains préfèrent une vie virtuelle à la vrai, ce qui entraine l'abandon de toutes les activités liées au travail qui n'est plus assuré que par des robots.

Et ces robots n'ont plus personnes pour les reprogrammés, ce qui entraine des situations ubuesques, ou leur programmations devient un danger pour la Nature.

Mais dans L'Uniwers, apparait des créateurs, qui sont capables de créer des bulles virtuelles ou ils imaginent ce qui leur fait envie.

L'on va suivre Scott, policier de l'Uniwers, et un couple d'adolescent dont l'un ne peux pas se rendre dans ces mondes virtuels et l'autre une créatrice d'univers virtuels.

A part le flash back que je n'aime pas trop, c'est une bonne histoire d'Anticipation, avec suffisamment d'action et de rebondissements pour vous scotcher jusqu'à la fin.

Merci à Sébastien Capelle, pour m'avoir tenu en haleine tout au long de ce récit.

Commenter  J’apprécie          70
La pierre de la victoire

Qui a dit que les blogs étaient morts ? C’est en tout cas grâce à l’un d’eux, Blog à Part tenu par Alias, que j’ai découvert l’œuvre dont je vais vous parler aujourd’hui.



La Pierre de la Victoire est un texte de fiction, que j’ai envie de situer entre une longue nouvelle et un court roman, signé par Sébastien Capelle. C’est un récit uchronique qui commence en mars 1871 : les Prussiens assiègent Paris après leur victoire cinglante face aux troupes du Second Empire, le nouveau gouvernement républicain de Thiers a fui à Versailles, et le peuple parisien s’apprête à proclamer la Commune.



Georges Clemenceau est âgé de 29 ans et est maire du XVIII° arrondissement de Paris, celui de Montmartre et de sa butte. C’est un républicain modéré, qui cherche une troisième voie entre la majorité royaliste à l’Assemblée Nationale qui tente de restaurer la monarchie et les révolutionnaires parisiens qui veulent instaurer une République socialiste, le tout sous la menace de l’armée prussienne qui a vaincu six mois plus tôt les troupes de Napoleon III et fait tomber le Second Empire.



Pendant l’insurrection parisienne, Georges fuit sa mairie d’arrondissement par un passage souterrain, accompagné par Jeanne, fidèle secrétaire de mairie. Là, un événement va bouleverser l’Histoire : Jeanne est désormais possédée par l’esprit de Sequana, déesse de la Seine et protectrice de Paris, et Georges devient un être de pierre doté d’une force colossale et d’une résistance surnaturelle. Il résiste aux balles ennemies et peut ainsi harceler les troupes prussiennes qui encerclent la capitale, en endossant le costume de la Foudre, héros patriote qui restaure l’honneur et l’espoir des parisiens et des français après la cinglante défaite.



Sébastien Capelle nous offre donc un récit inclassable, qui navigue entre fiction historique, uchronie, fantastique voire fantasy, et même un côté super-héros avec cette version d’un jeune Georges Clemenceau transformé et costumé en super-héros de pierre.



Je ne connaissais pas suffisamment l’histoire de la Commune de Paris pour distinguer ce qui révèle de la vérité historique et de la fiction dans cette uchronie, mais l’auteur a eu l’excellente idée de conclure son texte par un chapitre où il rappelle l’Histoire réelle et où il détaille et explique les points de divergence qu’il a choisis pour son récit.



J’ai pris énormément de plaisir à lire ce court récit, c’est typiquement ce que j’attends d’une uchronie : passionnant d’un point de vue littéraire, et intelligemment écrit du point de vue historique. Cela me donne clairement envie de lire l’autre roman uchronique de cet auteur : Napoléon en Amérique.
Lien : https://zerojanvier.fr/2019/..
Commenter  J’apprécie          40
Connectés

L’histoire : Dans ce roman, nous suivons 3 périodes temporelles, et trois 'groupes' de personnages. Le premier que l'on croise, dans « l'essor », est un agent policier de l'Uniwers, un univers virtuel dans lequel on s'immerge via un boitier, dans les années 2060. Il essaye d'empêcher les dérives et les abus dans ce monde virtuel. Scott est assez courageux, et j'ai beaucoup aimé la manière dont il évolue dans notre futur (oui je dis notre, c'est une anticipation qui me paraît 'plausible').

Deuxième époque (2099) et deuxième personnage : Melka, une jeune fille de 12 ans, qui est une créatrice. Elle peut façonner de nouveaux mondes dans l'Uniw, et s'est donc créé un monde aux allures de contes pour enfants, pour les enfants qui viennent dans l'uniwers, justement. Elle apporte beaucoup de fraîcheur, et une légère critique des individus de ce monde.

Troisième époque (2030), c'est avec Georgio, et justement, c'est lui le scientifique qui a créé l'Uniwers, c'est l'époque Genèse, et c'est très intéressant de voir comment est pensée la technologie, et au fil du roman, comment elle évolue et change pour suivre les volontés des humains et de ses actionnaires.



La plume de l'auteur : Comme pour toute anticipation, il est facile de s'interroger pour savoir comment on réagirait si nous étions confrontés à cette situation. Je vous laisserai juger.

La plume se lit avec facilité, elle est fluide, et l'alternance des différentes époques et point de vue apporte les informations sur l'évolution de l'Uniwers sans pour autant que l'on se perde dans 'trop' de personnages. J'ai peut-être ressenti une petite frustration à certaines fin de chapitre, pour savoir ce qui se passait avec le personnage avec qui j'étais, mais au final le rythme est bon !



Mon avis général : Un petit coup de cœur, et pour ce roman SF, j'ai bien aimé la fin, avec une touche d'espoir mais pas trop, juste ce qu'il faut pour avoir une sensation de satisfaction en finissant l'ouvrage ! L'approche de la création, de l'essor et de l'époque de Melka est une très bonne idée je trouve, pour suivre ce qui a changé notre mode de vie (dans ce roman, je précise).
Commenter  J’apprécie          30
Le non de la rose

L'Angleterre a gagné la guerre de Cent Ans. Jeanne d'Arc a été tuée au combat sans qu'il n'en ressorte rien. En 1452, un roi unique se trouve donc sur le trône de France et d'Angleterre: Henri II, surnommé le roi de fer. Or, le roi va mourir. Et sa succession provoque l'ébullition. Le Dauphin Henri est déjà à moitié fou et la seconde épouse du roi, la reine Isabelle, espère bien lui supplanter son fils, encore tout petit, afin d'en assurer la régence. Mais elle a en face d'elle bien des obstacles. A commencer par la princesse Elisabeth, la fille de la première reine, qui ne compte pas se laisser écarter. Mais aussi, Guillaume, le fils batard du roi, grand chef militaire particulièrement déterminé. Sans parler de Charles d'Orléans, descendant direct des anciens rois de France devenu poète, ou de Charles le bâtard, fils très fortement supposé du dernier roi de France Charles VI et actuellement prisonnier de guerre. Ou encore des ducs de Bourgogne, dont le dernier fils Charles le Téméraire a été marié à la fille du roi mourant et que son clan verrait bien pousser vers le trône à cette occasion. Qui tirera son épingle du jeu et récupérera la tant convoitée couronne?



Oui, moi aussi, je trouve que ça fait beaucoup de Charles là-dedans, surtout pour une uchronie qui leur donne un autre rôle que celui qu'on connaît, il y a de quoi s'emmêler les pinceaux! Du coup, j'ai souvent dû revenir aux arbres généalogiques des personnages au début du livre pour être sûre de bien comprendre les enjeux. Il faut dire que les liens royaux au Moyen Age, ce n'est pas ma tasse de thé. Mais je tenais à faire les choses bien. Et j'ai bien fait, parce que je trouve que mon résumé est à la fois fidèle et clair (je me lance quelques fleurs au passage).

C'est donc quelque chose que j'ai aimé dans ce roman : l'action est ramassée autour des quelques jours d'agonie du roi, dans le huis-clos du Louvre, et malgré la complexité des forces en présence, on ne s'éparpille pas. Je ne garantirai pas d'avoir tout compris, mais j'ai au moins pu suivre qui était opposé à qui, qui était allié à qui et ça, c'est un très bon point car la grande tension a réellement pris avec moi : je n'ai pas lâché le livre avant de savoir qui allait réussir à prendre la couronne.

Plus particulièrement, j'ai adoré les personnages secondaires, un peu annexes, auxquels on ne s'attend pas. Je me suis beaucoup attachée au rôle donné à Agnès Sorel, celle qui aurait dû être la favorite de Charles VII. Le roi qui lui donna la célébrité s'est fait évincer de l'Histoire? Pas de problème, elle revient dans un rôle de conspiratrice en faveur de la couronne de France! J'ai aussi beaucoup aimé le pauvre Charles le Téméraire, marié à une princesse pour des raisons politiques mais très amoureux de son maitre d'arme et qui est avant tout un pion dans les projets de la maison de Bourgogne. Et n'oublions pas Clément, le nabot bossu, le fou du roi, un rôle qui n'a jamais existé au Louvre mais qui est importé de la culture royale anglaise, prêt à tout pour un sourire de sa princesse.

Les personnages réels sont complètement repassés au prisme de cette nouvelle version noire et teintée d'ésotérisme. J'ai trouvée fascinante cette reine Isabelle prête à invoquer tous les démons de l'Enfer pour se maintenir au pouvoir, ou Guillaume, le fils bâtard du roi qui reconstitue une armée de chevaliers de la table ronde avec ce que ça implique de spectacle et de prestance. C'est avec beaucoup d'ironie que le fameux Charles VII (celui de Jeanne d'Arc, si vous avez suivi) devient un prisonnier oublié de tous.

Malgré un titre un peu facile, c'est donc un roman plutôt bien fichu et avec un final en grand spectacle, avec de petites annexes très sympa, comme un ensemble d'explications sur l'uchronie et son fonctionnement par un Antoine Hiloi qui vous retournera le cerveau une dernière fois avant de vous rendre à l'Histoire officielle.
Lien : http://mabouquinerie.canalbl..
Commenter  J’apprécie          20
Connectés

Voilà un roman d'anticipation brillamment mené ! Sébastien Capelle a su créer un monde terriblement semblable au nôtre, par son obsession d'aller toujours plus loin dans les illusions virtuelles. Articulée autour de trois époques - Essor, Genèse et Destin -, l'intrigue dévoile peu à peu cette société décimée par le manque d'intérêt de ses membres pour la réalité.



Avec Genèse, nous découvrons la création de l'Uniwers, une naissance dans les soubresauts d'impératifs économiques qui occultent sans états d'âme les réflexions morales, éthiques et sociétales qu'une telle technologie devrait impérativement comporter.



Essor nous projette trente ans plus tard, dans un Uniwers hors de contrôle, où la police peine à faire régner la loi. Même virtuellement, la nécessité de juguler le crime reste d'actualité.



Quant à Destin, près de soixante-dix ans après les débuts de l'Uniwers, il nous présente un monde déserté par l'Homme, qui préfère les plaisirs virtuels, et peuplé de robots répétant mécaniquement les derniers ordres reçus. Un monde terrible où les relations humaines n'existent pour ainsi dire plus en dehors des paradis virtuels.







Porté par une écriture solide et travaillée, le récit sonne comme une alerte sur le devenir des sociétés occidentales et le "tout-virtuel" vers lequel nous tendons de plus en plus. La structure narrative sur trois époques permet de prendre le recul que les GAFAM du 21e siècle oublient systématiquement : ils avancent, mettent leurs technologies à disposition du public, sans jamais penser aux conséquences et en omettant les garde-fous nécessaires, dans une course folle à l'argent.



À la fois roman de SF, fable réflexive, épopée d'aventures, Connectés expose sans juger, alerte sans condamner, raconte sans repousser. Sébastien Capelle ne refuse pas les avancées technologiques, il nous prévient juste des risques encourus à trop se précipiter sans réfléchir. D'ailleurs, à travers le personnage de la petite Melka, il offre même des pistes d'évolution positive de l'humain.



Un roman coup de coeur !
Commenter  J’apprécie          10
Connectés

Une pure merveille!!!!

A lire absolument! Quel livre! Un vrai régal.

Palpitant, passionnant et une vraie anticipation avec un vrai suspense...

L'histoire est très bien structurée et les pages se tournent avec une vraie allégresse.

j 'ai hâte de découvrir toutes les oeuvres de cet auteur.
Commenter  J’apprécie          10
Le non de la rose

Uchronie médiévale fantastique - à l’intrigue dense et dynamique, rehaussée d’une touche de féminisme. À lire!



Le point de divergence : l’Angleterre a gagné la Guerre de Cent Ans. Le Roi d’Angleterre est devenu également Roi de France. Il est désormais le Roi de fer. Il a installé sa Cour dans la ville la plus dense et puissante, Paris, cœur du royaume le plus peuplé du continent. Après une trentaine d’années, alors que le Roi ne va presque plus sur son île, ses héritiers se sentent plus français qu’anglais. Délaissée, l’Angleterre s’est muée en province arriérée aux velléités rebelles
Commenter  J’apprécie          10
Connectés

Je nourris une affection particulière pour les récits à multiples voix. Beaucoup les fuient à cause des récurrentes abondances de personnages ou du nombre trop important d’implications qui entortillent nos neurones dans d’épouvantables sacs de nœuds. Mais c’est précisément parce que je connais la difficulté d’écrire ce genre de roman et toute la dextérité que cela requiert pour ne pas perdre son lecteur que je me félicite de trouver des pépites de ce genre.

Un jour, si Dieu le veut, je vous parlerai de Nox, l’une des meilleures duologies que j’ai lu et qui illustre pour moi le schéma dont devrait s’inspirer tout écrivain qui souhaite se lancer dans le périlleux récit polyphonique. Aujourd’hui, je vais m’attarder sur Connectés et annoncer sans préambule que je l’ai beaucoup aimé.

À travers trois récits évoluant dans trois espaces-temps différents, nous découvrons les arguments, les bons côtés et les dérives du monde virtuel «l’Uniwers» portés par des adultes et des enfants qui nous offrent chacun un regard unique et pertinent, apportant leur lot de périples, de mystères et de dangers en cascade suivis de moments tendres, humains et chaleureux pendant que l’auteur pose les bases de sa réflexion sur notre dépendance aux réalités factices tandis que nous abandonnons le monde réel à son sort, et par la même, celui de l’humanité. Connectés n’est pas anti-technologie, nous devons clairement méditer sur son impact à long terme, mais la question fondamentale est je pense : Comment ne pas tomber dans l’excès et le déséquilibre qu’il engendre nous condamnant au désastre ?

Au risque d’attiser les «Spoiler Alert» je terminerai avec un petit clin d’œil pour Fiz et Melka qui sont définitivement mes personnages préférés dans cette histoire, non pas seulement parce qu’ils sont jeunes et que leur relation est vibrante d’amour naissant, mais parce qu’ils portent l’avenir.

Et qu’il brille d’espoir.

Commenter  J’apprécie          00
Le non de la rose

J’avais découvert Sébastien Capelle il y a un an et demi environ en lisant son roman « La Pierre de la Victoire », une uchronie très sympathique se déroulant sous la Commune de Paris, avec un Clémenceau réinventé en super-héros : j'avais beaucoup aimé le mélange des genres entre fiction historique, uchronie et fantasy. J’avais ensuite enchaîné avec son autre roman uchronique, « Napoléon en Amérique », que j’avais trouvé un peu moins réussi à cause d’un rythme moins bien géré dans la seconde partie, tout en restant une lecture très plaisante. Surtout, je m’étais demandé où cet auteur décidément plein d’imagination allait pouvoir nous inventer dans son prochain roman !



Revenons au roman lui-même, qui part d’une idée presque simple : et si les Anglais avaient gagné la Guerre de Cent Ans ? Le roi Henri d’Angleterre réunit les couronnes de France et d’Angleterre et installe sa cour à Paris, au cœur du royaume le plus peuplé. Vingt ans plus tard, alors que le roi est à l’agonie, l’Angleterre est devenue une province délaissée et rebelle, et les prétendants à la couronne préparent leurs armes pour une succession qui s’annonce difficile.



Le roman nous propose de suivre cette lutte pour la succession à travers le point de vue de plusieurs personnages, tous impliqués de près ou de loin dans la succession du roi Henri. Après quelques chapitres qui posent le décor et introduisent les principaux protagonistes, le récit est très rythmé et se lit très facilement, avec un plaisir non dissimulé. L’auteur revendique Les Rois Maudits et Game of Thrones parmi ses inspirations, et on sent effectivement cette ambiance médiévale avec les intrigues de cour et la violence des relations humaines, basées sur l’intérêt, la manipulation et l’ambition. Il y a également une touche de fantastique, même si elle m’a semblé anecdotique et à vrai dire plutôt dispensable dans le récit.



Le livre s’achève par une interview fictive, censée se dérouler en 2025, au cours de laquelle un auteur raconte une uchronie de cet univers uchronique, dans laquelle cette fois les Français ont remporté la Guerre de de Cent Ans et où la dynastie des Valois a conservé le trône de France, c’est-à-dire notre histoire réelle. C’est un clin d’œil sympathique qui permet à l’auteur (réel, cette fois) d’expliquer les choix qu’il a fait pour son uchronie, notamment sur le point de divergence. J’avoue tout de même avoir été un peu perdu dans certaines explications sur le rôle et le destin de certains personnages historiques ou de leur version fictive. De la même façon, n’étant pas très familier avec l’histoire de la Guerre de Cent Ans, je suis sans doute passé à côté de certaines références historiques dans ce roman. Mais l’essentiel reste que j’ai passé un bon moment de lecture avec ce récit court et bien mené.
Commenter  J’apprécie          00


Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Sébastien Capelle (16)Voir plus


{* *}