Cette vision d’hécatombe, cette ruine de massacre immortalisée à coups de pigments de peinture à l’huile et d’élans de furie. Avec leurs orbites ténébreuses et leurs museaux transformés en machines de destruction, les ours polaires sanguinaires se tenaient devant Sarah. Elle, toute menue, seule et vulnérable dans la lumière blafarde de la Portrait Gallery.