Entre sa grâce et sa brindille, il découvre le plaisir de la chair et celui de l'os, le goût de la peau, de la caresse à la morsure, les coups de reins, les frôlements et les frottements, ce qui fait courir les mâles, ce qui les fait se battre, oubliant qu'à des lieues de son île perdue, d'autres hommes s'écharpent pour des égéries autrement plus sanguinaires, les nations.