Il considéra ses chats. Un subtil mélange de profondeur et d’indifférence brillait dans leurs pupilles changeantes. Les chats profitaient de chaque crépuscule et de chaque aurore, et mourraient quand viendrait la mort. Le reste, tout le reste, était insensé et grotesque. Même la question de donner un sens à son existence dans un monde dépourvu de sens. Car la vie, ne compte que pour elle même. La seule jauge de la vie, c’est le vivant, et rien d’autre. N’est-ce-pas ?