La lumière est une constante dans l'étonnement que procure Istanbul, surtout par le dégradé de ses ciels d'automne et de décembre, une alliée fidèle qui permet de ne jamais se lasser. Mais la lumière fonctionne de pair avec l'eau, celle de ses deux mers et celle du détroit, une association parfaite qui nous rappelle la dimension portuaire de l'ancienne Byzance et, ce que je ne soupçonnais pas au début, l'existence d'une culture maritime.