La frontière de mon corps est entièrement dissoute, mes parole aussi emportées par le vent, j’ai l’impression qu’elles ne m’appartiennent plus. C’est comme si j’étais sur le point de mettre à flotter. Ou peut-être même ai-je déjà commencé à partir à la dérive. Je sens le vent souffler dans mon dos. Je suis gonflé de chaleur, comme une montgolfière, prêt à recevoir l’influence du vent. (184)