Tous ces humains assujettis à la consigne, ces milliards d’êtres humains confinés chacun dans son enclos, ils répondaient à rien de moins qu’à l’ultime instinct de sauver sa peau, parce qu’une épidémie c’est fait pour éclaircir le troupeau, pour réguler l’espèce, bien souvent en éliminant les plus fragiles.
(page 216)