Des auteurs estiment que le traitement des joueurs doit se centrer principalement sur le sentiment de toute-puissance, sur l'idéalisation de la destructivité et la difficulté d'établir des frontières entre soi et les autres. Rosenthal et Rugle proposent cinq stratégies pour la clinique thérapeutique : percer le déni du problème ; confronter le sentiment de toute-puissance ; interrompre le cycle des tentatives pour se refaire ; découvrir les raisons du jeu pathologique ; et motiver le joueur à être acteur de son traitement.