Sélim mon fils, mon cœur est rempli de joie de t’avoir retrouvé. Rentrons chez nous tant qu’il est encore temps. Je connais la guerre. Elle ne donne rien de bon, si ce n’est le malheur.
- Laisse-moi ! Mais de quel chez nous parles-tu ? Ils nous ont tout pris. Jamais je ne rentrerai. Si tu as peur, va-t’en. Oublie-moi… Nous allons combattre à la vie à la mort ! (page 57)