— Je l’avais cravaché pour lui éviter de passer sous les sabots de mon cheval, et cet abruti m’a agoni d’injures alors que je lui avais sauvé la vie, expliqua-t-il. Ça m’a mis très en colère et j’avoue avoir tapé un peu fort. Rassure-toi, il n’avait rien de cassé ! Une heure plus tard, il dansait la gigue sur le pont d’un quillard, en agitant la bouteille que je lui avais fait porter. Il m’a même remercié de l’avoir diverti !