Un bûcher, c’est comme une meute de loups fauves affamés se jetant sur leur proie en lacérant, déchiquetant avec une lenteur méthodique, attendrissant la peau, puis les couches successives de derme, avant de mordre dans la chair, tordre les nerfs, labourer les muscles, rompre les veines, arracher les viscères.