Notre Dieu n’est pas particulièrement sympathique sans vouloir tomber dans un anthropomorphisme que vous allez me reprocher dans les prochaines minutes. Il a changé le règles du jeu en définissant très clairement, trop clairement je dirais, le bien e le mal, l’autorisé et l’interdit. L’humanité n’avait pas besoin de connaître les dix commandements, sans parler des centaines d’autres qui en découlent selon vous et vos collègues.