Je suis devenue orpheline de mon père, mais aussi du monde littéraire d'où je me suis sentie bannie pour le restant de ma vie. Je ne lui pardonnais pas de nous avoir abandonnées, d'être tombé malade, d'avoir été fou toute sa vie, d'avoir couru derrière des chimères, d'avoir été à la fois si puissant et si vulnérable. (p. 119)