Dans "Castrum Liberonis" :
... Dans le château, une nouvelle vie semblait se développer, silencieusement. Quittant les recoins sombres des caves et des greniers, les femmes assistaient avec bienveillance à la multiplication de petits êtres fantasmagoriques qui emplissaient peu à peu l'espace. Les âmes perdues flottaient tels de minuscules pans de brume dans l'air ambiant, se posant parfois comme un voile de buée sur les vitres. Dans l'attente de ... (page 49)