Lorsque j'aurai assez vécu pour que mon coeur s'emplisse tout entier de regrets comme le tien, peut-être ferai-je comme toi et je dirai à mon destin : donne-moi quelques-unes de tes fleurs, je me contenterais de beaucoup moins que je n'en réclamais au début de ma vie. Mais pourtant je ne mourrai pas comme tu es morte, toi qui ne pouvais te contenter de peu. Je vivrai de ton souvenir, embrassant ta perle rose et tes boucles dorées.