Au fil du labyrinthe
DES SOLITUDES BLANCHIES…
Des solitudes blanchies au crâne du temps
que reste-t-il de nos bras cerclés
aux promesses de roses ?
S’il n’y avait que de durs fronts éclaboussés de pierres
combien je les aurais brisés
au fronton de mes mains !
Mais il n’y a rien.