Ils considérèrent tous, plus ou moins, la lecture comme une sorte de... comment dire?... de magie!
Un pouvoir impénétrable, inexplicable et que l'on ne pouvait acquérir, qui divisait le monde entre ceux qui le connaissaient, des êtres en quelque sorte supérieurs, et ceux qui, comme eux, l'ignoraient et l'ignoreraient toujours,