[...] la société se perd dans un gouffre sans fond. Les gens en mal-être se réfugient dans des jeux fictifs, s'imprégrant d'un avatar qu'ils ont créé comme étant une version idéalisée d'eux-mêmes. La confiance en soi diminue. Les interdépendants se renferment chaque jour un peu plus, oubliant toute sociabilité.