Le peu que nous savons de sa vie apparait étranger et dramatique à souhait, et reste entouré de larges pans d'ombre qui incitent l'imagination à se donner libre carrière. (...) Dans cette progression myope, il est à craindre que l'on perde de vue cela seul qui importe : la passion solitaire vécue par un homme que le génie de peindre a consumé comme une fièvre.