Il nous a semblé indispensable, à une époque où nous nous apitoyons - avec juste raison - sur les génocides des Juifs, des Biafrais, des Bengalis, des Khmers... que les Vendéens sachent qu'un génocide avait été perpétré contre eux, et qui pis est, par des Français.
P. 9
Préface
Un poète - aujourd'hui oublié - François Coppée, a eu cette belle formule : Les pierres parlent à qui sait les entendre. Les ruines de la Vendée, laissées derrière le passage des Colonnes infernales, ont inspiré à Simone Loidreau un beau livre qui nous aidera à ne pas oublier les ordres des bourreaux et les cris des massacrés.
Emmanuel Catta