De tous les auteurs anglais de l'ère Victorienne et de ce que certains appellent l'ère Edwardienne, nul doute que c'est Sir Arthur Conan Doyle qui a traversé avec le plus de succès l'épreuve implacable du temps [...] On retrouve, dans tous ses livres, la même rigueur d'écriture et, surtout, la même imagination qui a fait de lui un des précurseurs les plus extraordinaires de la science-fiction et du fantastique modernes.
A quelques exceptions près, et là nous en arrivons à l'objet de ce livre, il me semble que la nouvelle est la forme de récit où Conan Doyle fut le plus remarquable, comme si ses idées, quelquefois réellement fulgurantes, se déchaînaient plutôt dans les courses de vitesse littéraire plutôt que dans les épreuves d'endurance de la taille d'un roman....
(extrait de la quatrième de couverture de l'édition parue chez "Néo" en1984)