Song-Dong Kim

Biographie :

Kim Seong-Dong est née le 8 novembre 1947 à Boryeong, Chungcheongnam-do, fils d'un organisateur communiste. Dans un bain de sang violent résultant de conflits idéologiques, il a perdu son père et les membres de sa famille paternelle et maternelle et a grandi stigmatisé pour les liens communistes de sa famille. Kim a appris le chinois auprès de son grand-père confucéen et a pu poursuivre ses études à Séoul avec le soutien financier de ses proches.

À son entrée à l'université, Kim s'est rendu compte que la société coréenne lui barrerait la voie du progrès social en raison de sa coloration «rouge par association». À 19 ans, il a rencontré un moine bouddhiste âgé, après quoi il a renoncé à ses rêves mondains. succès et a suivi le moine dans le bouddhisme. À 25 ans, il envisageait d'étudier à l'étranger au Japon en tant qu'étudiant du bouddhisme, mais même cette porte lui était fermée en raison de son origine «communiste».

Frustrée et confuse, Kim s'est finalement tournée vers l'écriture de roman. Ces expériences l'ont profondément marqué. En tant que senior au Sorabol High School, il avait également rejoint l'ordre monastique bouddhiste pour devenir un disciple du maître zen Jihyo. Lorsque sa nouvelle "Moktakjo" a été publiée dans Religion Weekly (Jugan jonggyo) en 1975, il a été accusé de diffamation contre l'ordre et dûment excommunié. Kim Seongdong est ensuite retournée dans le monde laïc et a commencé à travailler pour plusieurs magazines et maisons d'édition. Sa carrière d'écrivain décolle avec la publication en 1978 de la nouvelle "Mandala" dans la revue Korean Literature (Hanguk munhak).