Les bruits de la nuit l’entouraient. Le vent contre les murs, le bruissement des feuilles mortes qui se soulevaient sous son passage dans la petite pièce ouverte aux nombreux courants d’air, les murmures des insectes qui avaient trouvé ici un agréable refuge.
Et puis il y eut ce léger souffle. Une seconde, il se dit qu’il rêvait, celle d’après, il sautait sur ses pieds, se fiant à son instinct. Cet instinct qui lui criait qu’il n’avait pas inventé cette respiration.