Je le savais, il y avait de bonnes chances que ses symptômes délirants dérivent en schizophrénie. De leur persistance et de leur chronicité dépendrait l’établissement du pronostic. Les bases du syndrome étaient là : hallucinations, délires. Le choc qu’engendrait l’annonce de la prise en charge psychiatrique et la puissance destructrice des pilules auraient vraisemblablement raison de la force de guérison de Sophie.