Dès les premiers temps, l'armée américaine est incommodée par les odeurs fortes, pleines de caractère, d'un grand port de la Méditerranée : effluves de mazout, relents de restes de poissons sur les quais du port de pêche, remugles de varech et de sel sur la grève, le tout amplifié et exalté par la chaleur de l'Afrique. Ce cocktail odoriférant attire des myriades de mouches sur la petite cité.