J'excelle dans le désordre. Le contraste est saisissant entre la pièce qui me sert d'atelier et le cabinet de travail de Jeffrey (son mari). Chez lui, rien que du propre et du rangé, tandis que chez moi gît le Verdun des livres. C'est un maquis de bouquins entassés les uns sur les autres. Ici s'envole la conscience de l'homme.