Une ouvreuse. J'ai pensé à Victor Hugo récité par un assassin. A l'absurdité de la guerre. Nous allions jouer Anouilh écrasés par les ruines, avec une ouvreuse qui prendrait soin de nous. Qui accueillerait le spectateur à la porte. Le conduirait à sa place entre les pierres meurtries, les douilles et le verre brisé.